Aux States, l’art de la rue fait partie des « must » à voir, lors d’un voyage traversant les différents États du pays. Loin d’être simplement vulgaires ou vides de sens, ces chefs-d’œuvre permettent, en fait, de montrer la créativité des États-Uniens ainsi que leur style de pensée. Les États-Unis ont eu l’énorme avantage de passer par des événements marquants qui demeurent des sources d’inspiration pour les artistes contemporains. La mode à la façon « street » est alors, aux yeux des touristes, désormais capable de rivaliser avec les œuvres des artistes jugés plus conservateurs.

Les tags

Les tags ont tiré leur origine de la musique hip-hop, toujours aussi célèbre jusqu’à ce jour. Il s’agit d’écritures au style agressif, au premier abord, mais qui nécessitent, en réalité, un peu d’ouverture d’esprit pour les comprendre. Effectivement, les polices adoptées par les artistes n’ont rien à voir avec celles que l’on retrouve sur les logiciels de bureautique. Lors de votre circuit aux Etats-Unis, vous découvrirez rapidement qu’Ils sont en mesure de dépasser les limites imposées par la société et sortent des œuvres aussi originales, les unes que les autres. Pour les touristes qui désirent en connaître davantage, des experts seront capables de les aider sur place.

Les fresques hippies

Elles ont vu le jour dans les années 1960, période marquée par la révolution hippie qui a cherché à entraver le développement nocif de l’industrie et qui a permis à bon nombre d’États-Uniens d’exprimer leurs idées sans aucune retenue. La plupart de ces fresques ont été faites dans les endroits les plus fréquentés aux States, comme le parc de Newtown dans le Connecticut. L’idée a, en fait, été de changer drastiquement la manière de penser des États-Uniens traditionalistes.

D’autres œuvres

Les hippies ne sont pas les seules personnes à avoir contribué au développement du street art. Des artistes, quelques fois anonymes, viennent également embellir les rues des États-Unis. Une belle preuve en est la borne d’incendie peinte en couleur dalmatienne à Austin, au Texas. Sinon, les ghettos n’en réchappent pas, non plus, car tout vient (ou presque) vient de là-bas.

Un art institutionnalisé

Même si cet art est typique de la rue, cela n’a pas empêché quelques-uns de les exposer officiellement devant un public moins branché street. Le but ? Faire profiter des chefs-d’œuvre à toutes les catégories de personnes. Tant mieux, surtout pour les touristes qui peuvent apprécier le savoir-faire de la rue des États-Unis, qui est on ne peut plus capable de rivaliser avec celui des hautes sphères.